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Parallèlement à une carrière de commandant de brigade territoriale de gendarmerie, Régis Rouillier exerce diverses fonctions dans le milieu associatif napoléonien. Il est notamment administrateur du Souvenir napoléonien depuis 2015 dont il est également délégué régional pour les Pays de la Loire depuis 2013 et administrateur de la Fondation Napoléon depuis 2020. Il a fondé et présidé le label « 2023, année Napoléon III » à l’occasion du cent-cinquantenaire de la mort de l’Empereur. Collectionneur de souvenirs historiques du Second Empire, il est prêteur régulier pour diverses expositions.
"voyage au cœur des Expositions Universelles
sous le second Empire"
le jeudi 19 juin 2025
à la Mairie du XVème
à 19h00.
Rendons-nous à l'exposition universelle de 1867. Le voyage en train qui nous mène à Paris est l'occasion de nous remémorer ce que fut l'exposition de 1855, voulue comme une réponse à celle de Londres de 1851. Bien que l'exposition de 1855 fut un échec financier, elle permit en revanche à la France de rayonner dans le monde entier.
Arrivés en gare, nous découvrons une capitale bouillonnante et nous nous empressons de visiter la grande exposition avec son parc, ses pavillons et son fameux Palais Omnibus. Les innovations fascinent le public et les récompenses pleuvent. Au-delà du caractère ludique de la visite, l'exposition de 1867 demeure le creuset des réflexions quant à la position de la France dans le monde sur les plans diplomatiques et économiques. Enfin, l'exposition de 1867 marquera le tournant vers un empire plus libéral.
"La construction de l'opéra Garnier"
le jeudi 11 avril 2024
à la Mairie du XVème
à 19h00.
En réponse à un attentat politique contre l’Empereur III, est décidée la construction d’un nouvel opéra qui sera confiée à un architecte quasi inconnu et lauréat d’un concours sous couvert d’anonymat. Débute ainsi l’aventure d’une réalisation dont l’éclectisme et l’architecture novatrice, imprégnée de polychromie, surmontera les aléas techniques et suscitera indifférence, critiques, voire violence et passions. Inachevé à la chute de l’Empereur, abandonné trois années durant, le nouvel opéra dont le style incarne tant le régime déchu sera paradoxalement inauguré avec faste sous la troisième République et demeure aujourd’hui un joyau du second empire.